Il a fallu que je vienne ajouter mes gouttes d'eau salée à la mer. Pas de danger, c'est pas avec ça qu'un raz-de-marée noiera les plagistes méditerranéens. Ceux-là ou d'autres qui affichaient cet après-midi leur belles quenottes toutes blanches, alors que la petite souris me les avait toutes emportées durant la nuit, et cela sans contrepartie. Si au moins elle m'avait attendue, je l'aurais suivie dans son trou pour hiberner discrètement, sans un bruit.
Mais paraît-il que ce n'est pas le moment de se coucher, qu'au contraire il faut augmenter la mise, relever les paris et la tête si possible.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire