Je l'ai vraiment sur le bout de ma langue,
Il est paralysé là,
Après s'être aventuré jusqu'à l'extrême limite de l'oralement avouable,
Il reste farouchement bardé par la chaleur réconfortante à l'arrière de la digue d'émail,
Et brûle en silence jusqu'à l'étouffement,
Ce désir infamant et pourtant inflammable d'une simple étincelle,
Identique à celles qui embrasent candidement l'espoir des cierges.
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